Les Vendeurs affectés par la crise politique veulent tous les côtés de compromettre afin de résoudre les problèmes, dont ils disent les gens comme eux n’ont pas initiés.
Les colporteurs de la nourriture et les vendeurs de rue autour du ministère de l’énergie se sont plaints que leur revenu a drastiquement ralenti depuis que l’immeuble est assiégé par les manifestants anti-gouvernementaux il y a deux semaines.
Le ministère est à proximité du lieu de protestation des gens du Comité de la réforme démocratique du Peuple (CRDP/PDRC) à l’intersection de Lat Phrao.
La vendeuse des smoothies Saeng-ngern Pongchuen, 37, a dit qu’il n’y avait pas de l’argent. Elle n’a pas un seul baht pendant l’occupation de l’intersection. « Je ne comprends pas ceci. Celui qui est le premier ministre, je dois encore me nourrir. Ce qui se passe n’a rien à voir avec moi. Pourtant je suis touchée par chaque protestation », dit-elle.
Mme Saeng-ngern a dit que le Premier Ministre Yingluck Shinawatra et le Secrétaire général Suthep Thaugsuban CRDP devraient s’asseoir à la table des négociations. Ils devaient se rencontrer à mi-chemin et tenir une élection pour décider qui doit diriger le pays. Elle a perdu des clients qui sont pour la plupart des employés qui sont restés loin du ministère assiégé.
Jarin Klampoo, un vendeur des nouilles, a dit que son revenu d’environ 1 000 bahts par jour a diminué de plus de la moitié. Elle vend le jus des fruits pour le faire avancer. Elle n’était pas autorisée à mettre en place un stand sur le site de protestation. Mais même si elle était autorisée, elle serait également préoccupée par la sécurité.
Sa-nga Duangjampa, 40, qui vend le som tam, a dite qu’elle a failli dans ses économies. Sans revenu entrant, elle pourrait avoir des problèmes de trouver l’argent pour payer les frais de scolarité de ses enfants et des frais mensuelles pour le coût de sa camionnette. Elle veut que le gouvernement puisse la donner un prêt. En attendant, elle pourrait rentrer à sa province natale de Maha Sarakham pour chercher du travail
Samat Sangthong, 50, un vendeur de la viande de poulet, a dit qu’il a emprunté de l’argent des usuriers pour payer ses dépenses quotidiennes. Certains des vendeurs ont déposé des documents demandant l’aide du gouvernement après que le Centre pour le Maintien de Paix et l’Ordre offre son assistance aux businesses affectés par les protestations
La division de la répression de la criminalité et les postes de police ont recueilli des documents.
Atisorn Oonhasegaka, 50, un dirigeant de l’exposition de la partie du Nord dans le District de Co en Sai Mai au Bangkok, a dit que sa compagnie a subi des problèmes financiers par ce qu’il y a eu peu d’expositions au centre de la Convention de Muang Thong Thani. Sa compagnie est engagée à mettre en place des stands au centre. Le blocage de CRDP de la rue Chaeng Watthana qui dessert le centre de convention a été contraint de suspendre des plans d’expositions de nombreuses entreprises.
Dans un bon mois, son cabinet a été contracté pour organiser des stands d’au moins 10 expositions, faisant entre 500 000 bahts et un million baht par mois. Les coffres de la compagnie sont devenus secs, mais elle doit encore payer 20 travailleurs qu’elle emploie. Il doit conserver l’effectif parce que le cabinet ne risquerait de ne pas trouver suffisamment des travailleurs lorsque le business va rebondir.
Il a dit que le gouvernement devrait aider les entreprises affectées par la protestation en négociant un moratoire sur la dette avec les institutions financières.
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Article provenant de www.bangkokpost.com
Légende pour la photo – Les vendeurs remplissent des formulaires indiquant les problèmes qu’ils rencontrent à cause de l’incapacité de faire le business en raison des manifestations anti-gouvernementales. Ils ont soumis les formulaires à la division de la répression de la criminalité. TWATCHAI KEMGUMNERD