Ordonnance du Tribunal redonne espoir pour l’implémentation de la Loi de vente
Inde – New Delhi, 10 Décembre, 2014 : audition d’une requête de l’Association Nationale des Vendeurs Rue de l’Inde [National Association of Street Vendors of India] (NASVI) contre les expulsions et le harcèlement des vendeurs de rue continuent à Delhi, Honorable Haute Cour de Delhi a pris une forte exception de violation flagrante de la Loi de 2014 sur la Vente de Rue et a répété l’ignorance délibérée des ordonnances judiciaires. Agacé, le banc de la division de l’Honorable Justice Badar Durrez Ahmed et Honorable Justice Siddharth Mridul ont demandé au requérant de déposer une pétition de mépris pour la désobéissance des ordonnances judiciaires antérieures.
Apparaissant pour l’Association Nationale des Vendeurs de Rue de l’Inde (NASVI), avocat Prashant Bhushan, a attiré l’attention du banc sur la triste situation que les autorités municipaux et de la police ignorent non seulement les ordonnances de la Cour mais aussi les défient ouvertement et ils continuent de les extorquer « HAFTA » des pauvres vendeurs. Irrité par la situation, le banc a ordonné aux autorités municipales d’effectuer une recherche de la zone mentionnée dans la pétition quant à combien des vendeurs qui ont été expulsés et de les réintégrer dans leurs sites de ventes originales parce que cela était à droite une violation claire de la Loi de 2014 sur la vente de Rue et des différentes ordonnances de l’Honorable Cour suprême et de la Haute Cour.
Il convient de mentionner qu’environ 100 vendeurs près de Nahar Patti, zone de Jamamasjid Bazar Meena ont été expulsés à la veille du 15 août 2014, citant les problèmes de sécurité. Cependant, après que les célébrations de la fête de l’indépendance soient finies, ils n’étaient pas permis de retourner à leur lieu de travail. Des demandes répétées au Minitre de l’Intérieur, au Commissaire de la police et aux autorités municipales sont tombées sur l’oreille d’un sourd, chacun demandant à l’autre d’agir.
Monsieur Arbind Singh, Coordinateur National de NASVI, a salué la décision disant c’était la rupture de voie d’accès et la seule façon de faire les autorités municipales et policièrs respecter la Loi de la terre. Il a dit que les vendeurs de Delhi sont arrivés à croire que l’autorité n’implémentera pas la loi puisque « HAFTA » s’arrêtera. L’Ordonnance d’aujourd’hui a apporté un nouvel espoir aux vendeurs. Mme Sampriti Phukan Malik, un avocat associé de NASVI complétée en disant que l’ordre va aider les vendeurs de rue des autres Etats à demander l’aide de la Cour en cas d’éviction et de harcèlement. Elle a estimé que la loi serait désormais appliquée plus rapidement.